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| Lova Ranoromaro entourée de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Chaminah Loulla et le président national du Seces, Faliarivony Randriamialinoro. |
Un programme de formation continue pour les professeurs de médecine de Madagascar va se concrétiser avec l’envoi, dans les prochaines semaines, d’une première promotion de quarante enseignants et médecins spécialistes, dont des chirurgiens, en France. Cette initiative avait été proposée par le président Andry Rajoelina lors de la visite d’État d’Emmanuel Macron à Madagascar, en avril, puis précisée à l’Élysée en juin dernier.
Si le pays dispose déjà d’un vivier de professeurs qualifiés, certaines spécialités, en particulier la chirurgie, restent insuffisamment couvertes. Ce manque freine l’accès aux soins spécialisés et conduit à de nombreuses évacuations sanitaires à l’étranger. Le programme a pour ambition de renforcer les compétences locales, de favoriser le transfert de savoir-faire et de permettre, à terme, de proposer sur le territoire national des soins répondant aux standards internationaux. Ce dispositif, appelé à se pérenniser, s’inscrit dans la volonté de bâtir un système médical plus performant, et plus autonome.
Clarification
La porte-parole de la présidence de la République, Lova Ranoromaro, a tenu à clarifier des propos qu’elle avait tenus et qui ont suscité des réactions au sein du Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants de l’enseignement supérieur (Seces). « Mon intention n’a jamais été de remettre en cause la compétence de nos professeurs de médecine, pour lesquels j’ai le plus grand respect. Au contraire, mon propos visait simplement à soutenir le projet positif du président Andry Rajoelina : relancer et renforcer la formation continue de nos professeurs en santé, grâce notamment à un partenariat avec la France, afin qu’ils puissent accéder aux dernières avancées et partager leur savoir-faire », a-t-elle indiqué.
Elle a également remercié la ministre de l’Enseignement supérieur, le professeur Chaminah Loulla, ainsi que le président national du Seces, Faliarivony Randriamialinoro, pour leur écoute et leur disponibilité à la suite de ses explications.
L'Express de Madagascar

Des propos désastreux et inconvenants lorsqu'on on occupe un poste exposé à la vie publique et pourraient être interprétés comme un état d'esprit général dans la conduite des affaires de l'état en haut lieu . L'opinion sera bien rassuré avec l'envoi de ces deux professeurs à savoir le ministre de la santé et l'autre qui est directeur du laboratoire LA2M qui se sont illustrés par leurs incompétences notoires dans l'affaire d'Ambohimalaza en faisant confiance à un Dadarabe pour valider un empoisonnement " criminel " par la Datura et la Belladone . Avec le récent décès de JESSICA tout concorde à affirmer que c'est une faute professionnelle de ne pas tester le BOTULISME et de ne pas recourir à la rigueur à l'autopsie .
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