Rinah Rakotomanga, ancienne directrice de la Communication de la Présidence de la République, reste derrière les barreaux. Sa demande de liberté provisoire, déposée par son avocate, a été rejetée hier à l’issue d’une audience devant le Pôle anti-corruption (PAC). Cette procédure visait à contester la décision de placement sous mandat de dépôt prononcée le 14 novembre.
« Les accusations portées contre notre cliente sont infondées. Sa détention n’est donc pas légitime », a affirmé Maître Mirantsoa Randriamiaramisaina lors d’un point de presse, hier à Anosy.
Selon elle, le dossier ne relève aucunement de la corruption, mais s’apparente plutôt à un différend de nature commerciale. L’avocate dénonce également une instrumentalisation politique de l’affaire, estimant que les poursuites engagées contre sa cliente répondent à d’autres motivations. Elle conteste en particulier les soupçons de détournement de fonds.
Tsilaviny Randriamanga
Ah bon ! Le schéma classique de l'arroseur arrosé ! On va rappeler à cette dame qui a la langue fourchue comptant sur l'appui de Rainilainga au pouvoir avec ses propos arrogants et condescendants " Izahay izao no eto amin'ny fitondrana ka hanao izay tianay hatao " . Sans commentaire !
RépondreSupprimer