Le chef de l’État affirme ne pas reculer devant les critiques. |
Contre vents et marées, Andry Rajoelina, président de la République, répond à ses détracteurs. Selon ses dires, en ouverture de la saison de reboisement national, à Andekaleka, hier, « je considère les critiques et les attaques comme des engrais qui fertilisent les actions de développement. Elles ne m’atteignent pas. Au contraire, elles me poussent à avancer et à travailler pour développer le pays ».
À l’entendre, le chef de l’État réplique à ceux qui critiquent la pertinence des grands projets étatiques. Pour donner une image des finalités de ces projets, et faisant le rapprochement avec le contexte du reboisement, il déclare : « Comme lorsqu’on plante des arbustes, certains pourraient se demander s’ils deviendront une forêt. D’autres vont même se moquer de nous. Mais avec le président Rajoelina, ce que nous plantons aujourd’hui deviendra un arbre. Ceux qui nous raillent aujourd’hui vont s’émerveiller demain ».
Le projet de construction de l’autoroute Antananarivo-Toamasina, que le Président a cité dans son discours à Andekaleka hier, a justement été mentionné.
Il a indiqué qu’en parallèle à ce projet routier, la remise à neuf de la voie ferrée et la mise aux normes du transport ferroviaire sur l’axe Antananarivo-Toamasina est également « à l’étude ». Trois entreprises ont manifesté leur intérêt pour le projet, ajoute-t-il : une chinoise et une égyptienne, notamment. « Nous trouverons des partenaires pour concrétiser ce projet », affirme le chef de l’État.
L’idée pour le chemin de fer est de délester la Route nationale numéro 2 (RN2) du transport des marchandises stratégiques et lourdes. Il s’agit aussi de faciliter l’accès au marché pour les produits agricoles des localités enclavées dans les districts de Brickaville et Moramanga. Le trajet en train Antananarivo-Toamasina est également un outil de séduction touristique.
« Ce sont ceux qui n’agissent pas qui critiquent », ajoute-t-il, par ailleurs. À s’en tenir à l’allure de son discours, il fait référence ici aux attaques contre les réponses étatiques face à la crise de l’énergie. En réponse, Andry Rajoelina met en avant les projets à long terme, parallèlement aux projets d’urgence et à court terme. C’est ainsi qu’il a annoncé, hier, le lancement, d’ici peu, du chantier de la centrale hydroélectrique de Ranomafana, sur la RN4.
Garry Fabrice Ranaivoson
Nul n'est plus sourd que celui que celui qui ne veut pas entendre ! Rainilainga avec son arrogance et son mépris , semble s'armer d'une carapace de façade mais la réalité contredit totalement sa fuite en avant . La corruption électorale et les violations flagrantes de sa fonction présidentielle avec tous ces micmacs pour gagner les élections municipales , font la démonstration que ces verbiages à l'emporte-pièce traduisent une perte de confiance et une grande frilosité pour s'accrocher à tout prix au pouvoir et pour perpétuer ses méfaits et sa mainmise sur les richesses nationales . Il a le droit absolu de délirer sur son autoroute de tous les scandales mais l'histoire le rattrapera tôt ou tard . Avec ce projet inopportun d'un chantier hydroélectrique à Ranomafana face à l'urgence , on a encore la preuve de son complexe inné sinon les projets Volobe et Sahofika ne sont plus en stand-by et s'il est vraiment un chef d'état responsable son conseiller spécial Gérard PERCEAU ne sera plus en place ! Et oui Radomelina est vraiment le problème de ce pays et il ferait mieux de se renseigner sur la Corée du sud et son président destitué !
RépondreSupprimerLes gens qui critiquent sont souvent ceux qui ne font rien.
RépondreSupprimerEncore une PERRUCHE qui ne fait que rapporter les dires imbéciles du président Français de Madagascar . Maintenant le crédo c'est les CRTIQUEURS avant c'était les HAINEUX. Normal si le pays est tombé si bas avec ces gens volomboasary !
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