Un déplacement express. Andry Rajoelina, président de la République, met le cap sur Dar es Salaam, en Tanzanie, indique l’institution présidentielle. Il conduit la délégation malgache qui prend part au Sommet africain de l’énergie.
Co-organisé par le Groupe de la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD), le sommet vise à promouvoir l’initiative «Mission 300». Selon un communiqué de presse publié par l’institution de Bretton Woods hier, cette initiative vise «à combler le fossé de l’accès à l’électricité en Afrique grâce à des technologies innovantes et des financements innovants», dans l’optique «d’étendre l’accès à une électricité fiable, abordable et durable à trois cents millions de personnes en Afrique d’ici 2030».
Selon le programme annoncé, le sommet débouchera sur «la Déclaration de l’énergie de Dar es Salaam». Le communiqué de la Banque mondiale explique que cette déclaration «présente les engagements et actions concrètes des gouvernements africains pour réformer le secteur de l’énergie, et la première série de « pactes nationaux pour l’énergie », qui serviront de feuilles de route avec des objectifs spécifiques pour chaque pays et des échéances pour la mise en œuvre des réformes essentielles».
La Grande Île fait partie des douze pays qui seront appelés à présenter leurs pactes énergétiques à Dar es Salaam. «Madagascar, pays pilote, pourra signer un pacte pour avancer ses réformes énergétiques et mobiliser les ressources nécessaires à ses objectifs nationaux», rapporte le communiqué du Conseil des ministres du 15 janvier.
La participation à plusieurs panels et à différentes séances de réseautage est au programme de la délégation malgache. Le sommet présente l’avantage de réunir, à un même événement, des bailleurs de fonds et des investisseurs privés dans le domaine de l’énergie.
Garry Fabrice Ranaivoson
Encore l'argent public gaspillé par un déplacement futile avec un Rainilainga qui ne respecte même pas la signature de son régime sur la lettre d'intention pour le FMI concernant l'engagement à appliquer stricto sensu le réajustement automatique des prix à la pompe . Il n'y a rien à attendre de cet incompétent notaire pour espérer une indépendance énergétique à moyen terme .
RépondreSupprimerDepuis son accession à la présidence il y a deux ans et trois mois, Ibrahim Traoré a émergé comme une figure emblématique de transformation et de souveraineté pour le Burkina Faso. Sous sa direction, le pays a pris un virage historique en renforçant son indépendance économique, en stimulant son secteur agricole et industriel, et en modernisant ses infrastructures tout en affirmant sa culture et son identité nationale.
L’économie burkinabè a connu une expansion significative, avec un produit intérieur brut (PIB) passant de 18,8 milliards de dollars en 2022 à 22,1 milliards de dollars en 2024.
Sous le leadership de Traoré, le Burkina Faso a fait des avancées remarquables dans la transformation locale des ressources. Parmi les réalisations majeures figurent :
• La construction des deux premières usines de transformation de tomates.
• L’inauguration d’une mine d’or ultramoderne en 2023, mettant fin à l’exportation d’or brut vers l’Europe.
• La construction de la deuxième usine de transformation de coton et l’ouverture du premier Centre national de soutien au traitement artisanal du coton.
Ces avancées ont également été soutenues par une distribution massive d’équipements agricoles tels que des tracteurs, des motoculteurs et des semences améliorées. Les résultats sont impressionnants :
• Production de tomates : 315 000 tonnes en 2022 à 360 000 tonnes en 2024.
• Production de mil : 907 000 tonnes en 2022 à 1,1 million de tonnes en 2024.
• Production de riz : 280 000 tonnes en 2022 à 326 000 tonnes en 2024.
Sous la gouvernance de Traoré, le Burkina Faso investit massivement dans les infrastructures. Des routes ont été construites et modernisées, facilitant le transport et le commerce. De plus, un nouvel aéroport international, Ouagadougou-Donsin, ouvrira ses portes en 2025, avec une capacité de 1 million de passagers par an.
Contrairement à des leaders comme Rajoelina, sans aucune vision à long terme, Ibrahim Traoré a su placer le Burkina Faso sur une trajectoire de progrès et de souveraineté. En revanche, en sept ans de pouvoir, Rajoelina a complètement détruit Madagascar. Le pays est devenu le plus pauvre du monde selon la Banque mondiale, avec un taux de croissance décroissant et une famine qui se généralise.
En consolidant les bases économiques, sociales et culturelles de son pays, Ibrahim Traoré est bien plus qu’un président. Il est un véritable architecte de l’avenir du Burkina Faso. Si un leader doit être félicité et couronné pour ses pairs c'est bien ce président Africain !