Inauguration de la Maison de la Diplomatie Verte hier à Ampandrianomby. |
Alors que Madagascar lutte contre les conséquences dramatiques du changement climatique, le pays met en place des initiatives ambitieuses pour renforcer sa position sur la scène internationale.
Madagascar se trouve en première ligne face aux défis climatiques. « Le pays subit de plein fouet les impacts du changement climatique, malgré sa contribution minime aux émissions globales de carbone», a rappelé Max Andonirina Fontaine, ministre de l’Environnement et du Développement durable. Confronté à des enjeux environnementaux menaçant ses écosystèmes uniques et la survie de ses communautés locales, Madagascar se dote d’un nouvel outil stratégique : la Maison de la Diplomatie Verte. Inaugurée hier à Ampandrianomby, au sein du ministère de l’Environnement et du Développement durable, ce centre a pour objectif de consolider la position de Madagascar sur la scène internationale dans les négociations climatiques et de renforcer la résilience des populations face aux crises environnementales.
Selon Rindra HasimbeloRabarinirinarison, ministre de l’Économie et des Finances, « la Maison de la Diplomatie Verte se veut un espace de coordination et de réflexion stratégique pour l’environnement et le développement durable ». Ce centre est conçu pour organiser des consultations multisectorielles, permettant ainsi d’élaborer des positions unifiées dans les grandes négociations climatiques internationales. Le ministre de l’Environnement a également précisé : « Lors de la COP 29, un fonds de 500 milliards de dollars a été annoncé. La Maison de la Diplomatie Verte sera notre point de plaidoyer pour que Madagascar et le MEDD puissent défendre leurs intérêts et obtenir un pourcentage de ces fonds. À ce jour, bien que cette somme ait été annoncée, aucun décaissement n’a encore eu lieu. Ce centre sera un lieu clé pour se battre sur l’allocation de ces financements. »
L’action climatique
Le projet est financé par l’Union européenne à hauteur de 35 millions d’euros, soit 175 milliards d’ariary, dans le cadre de l’Initiative Équipe Europe « Pacte vert» du Global Gateway. Son objectif est de protéger les aires naturelles de Madagascar tout en impliquant activement les communautés locales dans la gestion durable des ressources. Roland Kobia, ambassadeur de l’Union européenne à Madagascar, a souligné que « ce partenariat stratégique répond à deux objectifs majeurs : la préservation des écosystèmes et l’amélioration des conditions de vie des populations locales ».
Avec la Maison de la Diplomatie Verte, Madagascar ambitionne de devenir un modèle de résilience environnementale et d’innovation durable, tout en renforçant sa position face aux défis climatiques sur la scène internationale. En parallèle, la convention de financement du programme FAMINDRA (Faritra Arovana Mirindra) a été signée hier. Ce programme, mis en œuvre avec le soutien du KreditanstaltfürWiederaufbau (KfW), en collaboration avec la Fondation pour les Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar (FAPBM) et Madagascar National Parks (MNP), renforcera les ambitions environnementales du pays.
Irina Tsimijaly
Une ministre des finances qui ne maîtrise pas son sujet car la COP 29 lors d'une conférence " chaotique " a déçu les pays du sud , a parlé seulement de 300 milliards de dollars . Croire en cette maison de la diplomatie verte avec de tels responsables étatiques sulfureux serait incongrue pour l'enjeu des défis climatiques .
RépondreSupprimerMax Fontaine un fervent défenseur de l’environnement, a déçu . . Aujourd’hui, ce même homme est pointé du doigt, accusé de trahison, de lâcheté et de soumission à des intérêts économiques au détriment de ses convictions passées. La controverse majeure qui entoure Max Fontaine concerne son soutien apparent au projet d’autoroute de Radomelina . Il y a :
• Destruction écologique massive : des forêts primaires, abritant des espèces endémiques, seront rasées.
• Menace sur la biodiversité locale : plus de 50 associations locales et une cinquantaine d’ONG internationales affirment que cette autoroute entraînera l’extinction probable de plusieurs espèces.
• Impact irréversible sur les communautés locales : des terres ancestrales et des zones agricoles vitales seront englouties . Son mutisme est interprété comme une preuve accablante de son manque de courage politique. Pire encore, certains l’accusent d’être devenu un « pantin » au service des lobbies industriels. Fontaine est désormais « un vendu » .Max Fontaine n’est plus vu comme un allié, mais comme un symbole d’hypocrisie et de désillusion.
Aujourd’hui, il est perçu non seulement comme un lâche, mais aussi comme quelqu’un qui a cessé de se respecter lui-même. . Ancien militant reconnu pour son projet innovant Bondy, il incarnait un espoir : celui d’un avenir plus durable, où écologie et progrès marcheraient main dans la main. Aujourd’hui, ce même homme est pointé du doigt, accusé de trahison, de lâcheté et de soumission à des intérêts économiques au détriment de ses convictions passées. La controverse majeure qui entoure Max Fontaine concerne son soutien apparent au projet d’autoroute de Radomelina, un chantier dénoncé à l’unanimité par les défenseurs de l’environnement. Ce projet est jugé destructeur sur tous les fronts :
• Destruction écologique massive : des forêts primaires, abritant des espèces endémiques, seront rasées.
• Menace sur la biodiversité locale : plus de 50 associations locales et une cinquantaine d’ONG internationales affirment que cette autoroute entraînera l’extinction probable de plusieurs espèces.
• Impact irréversible sur les communautés locales : des terres ancestrales et des zones agricoles vitales seront englouties par l’asphalte.
Malgré ces avertissements, Max Fontaine persiste dans un silence glaçant, évitant soigneusement d’assumer publiquement son rôle. Fontaine ne se contente pas de soutenir passivement le projet : il fait semblant d’ignorer les multiples contestations, qu’elles soient locales ou internationales. Ce mutisme est interprété comme une preuve accablante de son manque de courage politique. Pire encore, certains l’accusent d’être devenu un « pantin » au service des lobbies industriels. ; Comment un homme, qui prônait autrefois la défense inconditionnelle de l’environnement, a-t-il pu changer à ce point ? Les militants parlent de « trahison pure et simple ». Selon eux, Fontaine est désormais « un vendu », prêt à sacrifier ses idéaux pour des intérêts personnels ou politiques .
.Aujourd’hui, il est perçu non seulement comme un lâche, mais aussi comme quelqu’un qui a cessé de se respecter lui-même.
C'est une autre manière pour recevoir et détourner ENCORE LES $ RECUS DE LA CI car la caisse est VIDE.
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