Les équipes championnes nationales masculine et féminine à Toamasina, de début octobre. |
J-3. L’équipe du comité de contrôle de la Confédération Africaine de Volleyball (CAVB) zone 7 est sur place, depuis dimanche soir. L’équipe de la Fédération Malgache de Volleyball (FMVB), dirigée par sa présidente Léa Raharimalala, a fait le déplacement avec ces membres du comité de contrôle hier. La Coupe de la zone 7 de beachvolley, qui en est à sa deuxième étape de la saison, se déroulera du 28 novembre au 1er décembre sur la plage du Village touristique, à Mahajanga.
Chaque île membre de la CAVB zone 7 aura le droit de présenter quatre équipes, dont deux masculines et deux féminines. Six pays de la région participeront à ce sommet régional, à savoir les Comores, Mayotte, La Réunion, les Seychelles, Maurice et Madagascar. La Grande Île alignera au moins quatre équipes à cette joute régionale.
« Madagascar sera représenté par les deux équipes championnes et finalistes, masculine et féminine, au championnat national, de début octobre à Toamasina », rappelle la présidente de la FMVB.
Quatre équipes
« Nous allons cette fois garder, sans modification, la formation des finalistes au championnat national car nous n’avons plus assez de temps pour former des équipes nationales », explique la patronne de la discipline. La commission de beachvolley assurera l’organisation technique de cet événement international.
Au championnat national, le duo Jean Antonio Ranaivoniaina alias Kem’s et Jean Hasina Romaric Rantsoavina du club Mama a été sacré champion, en battant en finale l’équipe du Cosfa composée de Finition Willot Rakotoarison et Jean Nicolas Rakotoarisoa. Du côté des filles, la paire du Stef’auto d’Atsinanana, Eliema Rasoaniaina et Antharès Melissa Rambony, a décroché le titre en écartant en duel final l’équipe du Squad d’Analamanga formée par Holiarisoa Andriamihasoa Ravonitsaheno et Andréas Momi Ramanintsy.
« En cas d’absence au dernier moment des représentants d’autres îles, nous pourrions aligner de nouvelles équipes suivant, bien évidemment, le classement national », souligne Léa Raharimalala.
Serge Rasanda