Le PCA de l’ORT de Boeny à gauche. |
L’Office régional du tourisme de Boeny (ORTB) réédite, comme chaque année, son événement spécial du mois de juillet, dans le cadre de la promotion de la destination Mahajanga. Considérée comme la première destination nationale, la ville de Mahajanga ouvrira les festivités avec la grande manifestation culturelle et sportive, appelée Mahajanga en fête.
De nombreuses animations et compétitions sportives, accompagnées de dégustations des délices de la mer, illustreront les journées de ce jour et demain. Cette fois, le Village touristique accueillera la manifestation toute la journée. Toutefois, des conférences axées sur le tourisme, la pêche et l’économie bleue se tiendront dans la salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie de Mahajanga, aujourd’hui à partir de 9 heures du matin. Le nettoyage de la plage du Village touristique se déroulera vers 16 heures.
Mais l’évènement le plus attendu par le public et les sportifs est la course de 5 km, dans la matinée de samedi, à laquelle participeront des athlètes licenciés venant de la capitale. D’ailleurs, cette compétition sportive est organisée avec la Ligue régionale d’athlétisme de Boeny. Ce sera aussi une occasion pour les athlètes locaux de se préparer en vue des prochains rendez-vous de la discipline athlétisme. L’épreuve de marche à pied de 5 km, dénommée Lomay Be, précédera cette course et débutera à 6 heures du matin.
Comme à chaque édition de Mahajanga en fête, la course des garçons de Café se tiendra également, dans l’après-midi vers 16 heures, au Village touristique, suivie de la cérémonie d’ouverture du Festival des fruits de mer à 17 heures. Des stands de dégustation et de promotion des plats à base de fruits de mer seront installés sur place jusqu’à 21 heures.
L’événement sera clôturé officiellement par un cabaret traditionnel à l’Hôtel Coco Lodge, le samedi 13 juillet. « Nous avons obtenu un prix promotionnel auprès des grands distributeurs de fruits de mer et le festival sera l’occasion de les écouler à un prix très minime», explique un restaurateur à Mahajanga.
Vero Andrianarisoa