CASTRATION DES VIOLEURS - La porte-parole du gouvernement réagit

Une réaction chaude. C’est ce qu’a montré la ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Lalatiana Rakotondrazafy,  hier à Ampefiloha lors d’une conférence de presse, pour défendre le projet de loi visant à castrer les violeurs d’enfants. 

Pour elle, contrairement aux idées reçues, cette loi n’est pas du tout contraire à la Constitution et, en revanche, l’aggravation de la peine pour le viol n’est qu’une preuve de la souveraineté du pays.

Pour elle, la décision tombe à pic, compte tenu de la progression significative de ce fléau depuis un certain temps. La porte-parole du gouvernement insiste sur le fait que la castration ne peut pas être considérée comme un acte de torture ou de traitement cruel et inhumain. 

Elle s’aligne donc avec les dires de Landy Mbolatiana Randriamanantenasoa, garde des Sceaux, et rejette les allégations d’Isabelle Delattre, ambassadrice de l’Union européenne.

Ravo Andriantsalama

1 Commentaires

  1. BM comme beaucoup aiment la surnommer est très mal placée pour apporter une appréciation objective sur le caractère barbare de la castration . Cette trainée ferait mieux de fermer sa grosse bouche parce que tous ces étalons qu'elle a bien entretenus risquent de connaître les effets pervers de cette mesure avec la délation !

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