Le collectif Mijoro, émanation du collectif des malheureux candidats à la dernière élection présidentielle, a organisé une marche le samedi 9 décembre 2023 au Trocadéro à Paris. Comme il fallait s’y attendre, la manifestation a été un échec retentissant. Moins de cinquante personnes étaient présentes. La marche a été courte en raison du froid hivernal. Elle n’a intéressé personne. Les passants n’ont même pas jeté un regard aux pancartes et banderoles reprenant les mêmes slogans usés.
L’échec du collectif Mijoro marque la faillite personnelle de Fanirisoa Ernaivo, chef de file et grande bouche de l’opposition en France. Elle a pris l’initiative de ce rassemblement pour justifier les sommes d’argent qu’elle reçoit de Marc Ravalomanana.
La diaspora malgache ne se reconnaît pas dans les arguments grossiers assénés par ces opposants escrocs tels que Fanirisoa Ernaivo, Koto Lilahimahitsoambo, Syntia Randriambololona et Andry Biahary. Ceux-ci ont créé et amplifié de fausses polémiques qui n’ont abouti à rien. Ces décérébrés ont cru pouvoir renverser le régime en répétant en boucle sur les réseaux sociaux « Tsy Mila ! Miala ! »
Que ce soit à Madagascar et en France, la lutte du collectif des candidats n’a plus de sens. Le collectif, dont le nombre se réduit de jour en jour, traverse une crise existentielle qui justifie sa nouvelle dénomination « cellule de crise ». Ce cartel des perdants n’arrive pas à se résigner au fait que la fête des fous est terminée. Il est temps d’éteindre le sapin et d’ouvrir les yeux.
L'Express de Madagascar