Lors de la cérémonie de signature de l’accord-cadre de partenariat entre Bioforce et Iscam, tenue hier à Ankadifotsy. |
Le pays reste encore vulnérable face aux aléas climatiques, qui provoquent de nombreuses crises nécessitant l’intervention de professionnels qualifiés dans le domaine humanitaire. « Afin de renforcer les capacités des jeunes étudiants dans ce secteur, un accord a été signé », a indiqué Camille Ratsimbazafy, directeur exécutif d’IBS, lors de la cérémonie de signature de l’accord-cadre de partenariat entre Bioforce et Iscam, qui s’est tenue hier dans l’enceinte de l’Iscam, à Ankadifotsy.
Cet accord vise à offrir de nombreuses opportunités aux étudiants malgaches. Former des jeunes à se préparer et à s’intéresser aux métiers de l’humanitaire fait partie des objectifs principaux. « De plus, les recherches dans le domaine de l’aide humanitaire doivent être valorisées », a ajouté le directeur exécutif de l’Iscam.
Cette initiative ouvre de nouvelles perspectives pour les apprenants. Des échanges entre les deux institutions permettront de renforcer davantage les compétences dans ce secteur. « Pour éviter que le pays ne soit encore fragilisé par les crises climatiques, nous voulons former des jeunes à ces métiers, encore peu connus. Il s’agit également de susciter l’intérêt pour les professions liées à la solidarité », a déclaré Dorothée Lintner, directrice générale de Bioforce.
Plusieurs situations, telles que la famine, la sécheresse, les cyclones et d’autres crises climatiques, nécessitent fortement l’intervention de professionnels qualifiés dans le domaine humanitaire.
Mialisoa Ida