De plus en plus de femmes choisissent l’implant en guise de contraception. |
Hélène Farasoa Razanajo, habitante d’Anosibe Angarangarana, est une mère de deux enfants. L’aîné de ses enfants a actuellement 12 ans et le cadet en a six. Cette mère de famille a choisi d’utiliser des méthodes contraceptives afin de planifier leur vie familiale. Elle raconte que son mari l’épaule dans cette planification familiale. Hélène Farasoa Razanajo a opté pour la contraception afin de vivre une vie sereine. « Cette année, j’ai choisi une nouvelle méthode contraceptive parce que mon mari me l’a conseillée ». Elle a profité des soins de proximité organisés par la CUA au sein du quatrième arrondissement le mardi 26 mars pour changer son choix de planning familial.
Cette mère de famille n’est pas la seule intéressée par la planification familiale. D’autres couples comme celui de Daniel Randriamananjara et Vololonirina Rakotoarisoa ont choisi l’implant afin de planifier leur vie conjugale. Cette décision a porté ses fruits tant sur leur relation que sur leur vie financière. Actuellement parents de deux enfants, le couple peut travailler sans souci et réussit à bien gérer travail et vie familiale. La mère de famille indique que cela fait presque sept ans qu’elle utilise des méthodes contraceptives.
L’espacement des naissances a un grand impact sur la vie d’une famille. Cela permet de bien planifier la vie de famille. Mais d’autres raisons empêchent d’autres personnes de pratiquer ces méthodes, telles que les croyances ou les tabous. L’un des objectifs du ministère de la Santé publique est de faire bénéficier à plus de trois millions de femmes de kits de planning familial. C’était son engagement pendant les premiers 100 jours de son mandat.
Mialisoa Ida