Opposants extrémistes : Jusqu’au-boutisme qui coûtera cher

Certains ténors de la cellule de crise (ex-collectif des candidats) et leurs compères de l’opposition (à Madagascar et en France) veulent empêcher par tous les moyens la tenue de l’investiture de Andry Rajoelina le 16 décembre prochain. Leurs provocations directes au terrorisme lancées et relayées sur les réseaux sociaux sont extrêmement malsaines. Les terroristes se trompent s’ils pensent intimider le régime. Cependant, il y a toujours un risque qu’un déséquilibré mental passe à l’acte. 

Faire obstacle à la cérémonie du 16 décembre 2023 est à la fois absurde et antidémocratique. Refuser l’investiture du chef de l’État élu, c’est s’opposer au choix du peuple souverain. C’est mépriser la Constitution et enfreindre les lois en vigueur. C’est faire un contre-sens politique et juridique. Madagascar n’est pas le Far West. Par conséquent, les hors-la-loi (commanditaires, auteurs et complices) seront passibles de poursuites judiciaires en raison de manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à provoquer la haine du Gouvernement malgache et à enfreindre les lois du pays, conformément à l’article 91 alinéa 2 du Code Pénal. Leur jusqu’au-boutisme leur coûtera cher. 

L'Express de Madagascar

Enregistrer un commentaire

Plus récente Plus ancienne