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| Le nouveau DG de la Jirama, Ron Weiss, avec quelques têtes pensantes de la société. |
Nommé par le conseil des ministres jeudi pour diriger la Société nationale d'eau et d'électricité (Jirama), Ron Weiss, le nouveau directeur général de la Jirama, n'a pas tardé à agir. Il a rencontré hier le personnel de cette société pour définir les actions à entreprendre afin de redresser l'entreprise.
Redressement. Ce sera sûrement le leitmotiv au sein de la Société nationale d'eau et d'électricité. Le nouveau directeur général de la Jirama, Ron Weiss, a indiqué que la remise à flot de cette société sera axée sur la transition énergétique. Les défis qui attendent désormais le numéro Un de la Jirama sont nombreux ; néanmoins, les informations données lors de cette rencontre entre Ron Weiss, le ministre de l'Énergie et le personnel de la Jirama laissent entrevoir l'étendue du chantier qui l'attend.
Il entend contribuer à la transition énergétique, notamment en participant aux différents projets en cours dans le domaine de l'énergie actuellement. Parmi ceux-ci figurent la construction des barrages hydroélectriques de Volobe et de Sahofika, actuellement en stand-by. Pour le moment, la solution idoine définie comme "prioritaire" par l'État reste la mise en place de trente-six parcs solaires à travers quarante-sept districts. Un projet qui contribuera à améliorer l'accès à l'électricité et à réduire les coûts de la production énergétique. Le DG de la Jirama affirme vouloir travailler avec les entités concernées en charge de ces projets.
Tensions
Il appelle également à la coopération de tous les contribuables : "Les employés et collaborateurs de la Jirama disposent de l'expérience et du savoir-faire dans ces domaines", estime Ron Weiss. Il envisage également de résoudre les problèmes de trésorerie auxquels la Jirama est confrontée depuis plusieurs années. En 2022, la société affichait un passif de 3 535 milliards d'ariary, une situation alarmante résultant d'une gestion défaillante au fil du temps. La tâche qui attend ce technicien israélien sera particulièrement ardue, car la Jirama est restée sans direction claire pendant au moins trois ans, exacerbant ainsi ses problèmes de trésorerie. Pour faire face à cette situation, la société s'efforce toujours de réduire ses dépenses afin d'augmenter ses recettes.
Cette stratégie s'articule toutefois autour de la bonne gouvernance et de la transition énergétique. Ron Weiss aspire également à rétablir la confiance des utilisateurs de la Jirama.
Itamara Randriamamonjy
On va revenir pour plus d'acuité lorsque ce papier fortement polarisé, politisé et gangréné par la corruption sous l'emprise des patrons de presse selon reporters sans frontières , mettra à la "une " dans un entretien ce ressortissant étranger parachuté à la tête d'une société stratégique . Déjà le premier hic c'est une procédure de recrutement qui ne respecte pas la bonne gouvernance parce qu'il n'y a pas appel à candidature en bonne et due forme . Le scénario a tendance à récidiver déjà avec le vendeur de vins à la tête de la compagnie aérienne nationale . Une nomination en conseil de ministres avec un décret dans le journal officiel de la république fait tâche . Rien d'étonnant avec un président VAZAHA TARATASY avec ses insuffisances et ses complexes . Sur le fond le premier discours de ce nouveau DG permet de déceler qu'il n'aura pas les coudées franches car déjà Rainilainga a fixé sa priorité débile avec ce programme national de dotation de kits solaires . Bonjour les dégâts car les projets SAHOFIKA et VOLOBE risquent d'être noyés et trainés dans les calendes Grecques face à l'irréalisme d'un régime incompétent et empêtré dans des visées corruptives pour tout contrat colossal avec un enjeu primordial pour l'avenir . La transition énergétique avec le renouvelable n'est qu'un alibi . Et c'est le peuple qui va toujours payé les pots cassés ...
RépondreSupprimerErratum : le peuple Malgache va payer les pots cassés .
RépondreSupprimerRectificatif : fait TACHE !
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